Pour cet exercice, Sylvaine a décidé que nous allions travailler les
Aïe ! Exercice périlleux s'il en est. J'aime bien rafistoler mes fringues pour leur donner une seconde chance en appliquant des pièces d'imprimés, des bouts de dentelles, etc... Pour autant, je ne m'étais jamais essayé aux rapiéçages dans les règles de l'art, comme nos aïeules savaient si bien le faire. Et je ne suis pas près de m'y mettre sérieusement, c'est bien trop minutieux, vous allez vous rendre compte.
Pour commencer, je vous montre des vues d'ensemble qui n'autorisent pas, fort heureusement, à détailler les défauts.
Comme vous pouvez le constater, j'ai testé pas mal de techniques.
D'abord le rapiéçage à coutures rabattues et en surjet qui permettent de réparer des gros trous dans le linge de maison notamment.
Pour m'amuser un peu, suite à ces exercices assez corsés, j'ai cousu un petit échantillon de boro qui est la manière des Japonaises de renforcer une toile usée ou d'en couvrir les trous.
Puis la technique au point de toile (no comment, je sais que c'est particulièrement moche, mais je ne me suis pas senti le courage de recommencer cet exercice plus proprement) ou au point de feston qui peuvent boucher des trous plus petits.
Enfin, sur une toile 16 fils et avec un fil de mouliné, j'ai reproduit des reprises ouvrées. Ces points étaient utilisés pour réparer des toiles damassées en suivant les motifs du tissage. Les modèles en ont été pris dans le numéro 9 des "broderies de Marie". Allez voir, dans la galerie de Sylvaine, les exercices des autres brodeuses. Chacune a personnalisé son cahier d'écolière à sa manière, c'est vraiment intéressant et, cerise sur le gâteau, un régal pour les yeux.
Aïe ! Exercice périlleux s'il en est. J'aime bien rafistoler mes fringues pour leur donner une seconde chance en appliquant des pièces d'imprimés, des bouts de dentelles, etc... Pour autant, je ne m'étais jamais essayé aux rapiéçages dans les règles de l'art, comme nos aïeules savaient si bien le faire. Et je ne suis pas près de m'y mettre sérieusement, c'est bien trop minutieux, vous allez vous rendre compte.
Pour commencer, je vous montre des vues d'ensemble qui n'autorisent pas, fort heureusement, à détailler les défauts.
Comme vous pouvez le constater, j'ai testé pas mal de techniques.
D'abord le rapiéçage à coutures rabattues et en surjet qui permettent de réparer des gros trous dans le linge de maison notamment.
un peu de mal pour faire des angles bien droits avec ma toile de lin rustique un peu épaisse ;) |
Pour m'amuser un peu, suite à ces exercices assez corsés, j'ai cousu un petit échantillon de boro qui est la manière des Japonaises de renforcer une toile usée ou d'en couvrir les trous.
Puis la technique au point de toile (no comment, je sais que c'est particulièrement moche, mais je ne me suis pas senti le courage de recommencer cet exercice plus proprement) ou au point de feston qui peuvent boucher des trous plus petits.
Enfin, sur une toile 16 fils et avec un fil de mouliné, j'ai reproduit des reprises ouvrées. Ces points étaient utilisés pour réparer des toiles damassées en suivant les motifs du tissage. Les modèles en ont été pris dans le numéro 9 des "broderies de Marie". Allez voir, dans la galerie de Sylvaine, les exercices des autres brodeuses. Chacune a personnalisé son cahier d'écolière à sa manière, c'est vraiment intéressant et, cerise sur le gâteau, un régal pour les yeux.